Gerda-Hartman-soprano Gerda Hatman en 1974                

 

 

 

“Avec Gerda Hartman on est immédiatement pris de court : quelques phrases lui suffisent pour imposer son climat . . . avec toute la puissance de son tempérament, c'est elle qui donne à l'œuvre sa raison d'être dans l'instant”

Le Monde « Les appels du Pierrot Lunaire »

“She sings in the true tradition of the Lied... I could have been listening to Schwarzkopf or Seefried... such was the artistry and beauty of voice...”

Phil du Plessis, The Argus

“Elle hausse d'emblée les trois Lieder d'Ophélie au niveau du chef-d'œuvre absolu... Il y a là une interprétation jamais entendue qui met en pleine valeur la modernité de Richard Strauss.”

Opéra International.

 

Gerda Hartman a montré, en Euridice, ce que la musicalité, l'intelligence et le style pouvaient tirer de la musique de Gluck. Le premier air d'Euridice, ses adieux et sa mort furent de loin les meilleurs moments de la soirée ...

Jacques Mairel, Le Soir

 

Schubert's "Nacht und Traüme », in its magnificent simplicity, is a severe test for the singer, demanding absolute control over the technical aspects of singing.. The beautiful tone of Miss Hartman's voice, her power of sustaining long phrases, and her sense of the mysterious darkly glowing sound of this immensely romantic work made a profound impression.

Evening Post, Port Elizabeth